vendredi 14 décembre 2012

Abattre les conditionnements sociaux

La loi de la normalité est ce qui semble régir le plus les relations entre les individus. Les gens recherchent a ressembler a une certaine normalité que ce soit conscient ou non. La raison est que la normalité aide un individu a rentrer dans le rang commun et donc a s'identifier plus facilement avec ses semblables. On peut donc dire que la normalité est un concept qui fait qu'on se comprend mieux les uns les autres, ce qui facilite les rapports sociaux. Les personnes trop anormales sont d'ailleurs souvent jugés, méprisés et abandonnés.

Cependant, dans le concept de normalité, il y a un élastique qui peut s'étirer et on trouve une panoplie de comportements, d'attitudes, de manière d'être qui peuvent s'insérer dans la soupe de la normalité. Les gens qui tendent trop a se rapprocher d'un standard de normalité abandonne une parti de leur souveraineté intérieur ; c'est qu'il formate leur moi intérieur pour s'identifier a un phénomène culturelle, qui souvent, ne leur ressemble pas dans leur intégralité intérieur.

La peur d'être trop différent des autres ou d'affirmer son vrai moi semble souvent prendre l'avantage car peu de gens arrivent a s'affranchir complètement de leur culture local et de leur comportement intérieur qui se sont standardisés au fil des expériences de vie. Les campagnards semblent beaucoup mieux arriver a s'affranchir des conditionnements culturelle que les personnes urbaines et, aussi paradoxale que cela peut sembler, les gens moins scolarisés aussi semble arriver au même résultat. Il semble bien que les gens sous éduqués se fit d'avantage a leur instinct intérieur qu'a ce qu'ils ont appris, la raison étant simple, c'est qu'ils n'ont pas appris beaucoup de choses, ils doivent donc se fier a leur intériorité. Les gens moins scolarisés ont donc au moins cet avantage, qui semble être presque la seule de leur faible éducation, ils sont d'avantage en connection avec leur moi intérieur, celui-ci étant moins éclatés et divisés.

Mais par ou se délivrer de ce conditionnement culturel qui nous rend prisonnier de nous-même et de nos comportements appris? Comment donc se libérer de la peur de tomber dans l'anormalité tout en évitant la marginalisation? Je dirais a cette question qu'il y a deux réponses que je peux voir a première vue : par l'acquisition d'une meilleure perception du monde dans son intégralité et par le voyage.

Comment peux-t-ton réussir a améliorer sa perception du monde et donc par le fait même, arriver a mieux comprendre celui-ci pour mieux manoeuvrer dans l'échiquier terrestre? Il y a une réponse assez simple qui se nomme l'érudition ou l'acquisition du savoir par les livres. En lisant beaucoup de livre, notre perception du monde s'affine et l'on vient a la longue qu'a comprendre froncièrement la différence entre un concept marginal et un concept de l'épanouissement de notre être intérieur. Prenons un exemple pour illustrer le propos, prenons la sexualité dans son ensemble. Quels sont les limites de ce concept, qu'est-ce-qui est normal ou ne l'est pas, qu'est-ce-qui est normal et qu'est-ce-qui est marginal et déviant? C'est la toute la question car certains vont se priver de certains comportements simplement pour respecter le concept de normalité et donc ils rentre dans le conditionnement culturelle, une prison créée de par soi-même en quelque sorte, pour ne pas être rejeté des autres. Dans ce cas précis, les limites de la normalité sont extrêmements large et se définissent par certains critères précis. Est-ce-que mon partenaire aime le comportement sexuel en question, se sens-t-il bien la-dedans? La limite sexuel ici présent est le ressentis intérieur de son partenaire donc il reste de la place a presque une infinité de comportements. Mais on pouvait aussi voir le problème sous un autre angle. Il y a une perception fort simple qui s'applique a tous ce qui existe sur terre et c'est une vérité implacable : la nature aime la diversité et elle tend a vouloir créer le plus de diversité possible. On se rend compte de cette vérité en regardant l'immense complexité du monde végétal et animale, presque infinie. Donc les comportements sexuelles sont larges et ce qui plaît a une personne ne sera pas ce qui plaira a l'autre personne car la nature aime la diversité. On pourrait dire qu'il y a des limites d'hygiènes a la sexualité et de respect de sont partenaires. Prenant par exemple la sodomie, qui était dernièrement tabou et l'on ne savait pas trop s'il fallait tolérer ou interdire ce comportement sexuelle. Bien que la question ne soit pas régler totalement, s'il n'y a pas de problème de santé imputable a cette pratique et si l'hygiène est respecté, ce comportement sexuel est très clairement acceptable tant et aussi longtemps que son partenaire se sens bien la-dedans. Il y a aussi la question plus complexe du nombre de partenaires sexuelles acceptable. A ce niveau il semble que de réussir a rester avec la même personne toutes sa vie est un avantage mais que ça ne représente pas la réalité sur le terrain. Comme second postulat, on peut dire que de se priver de sexe a l'infinie ne semble pas une bonne manière car le sexe est bon pour la santé. Est-t-on immorale si on n'a plusieurs partenaires sexuelles? La réponse est non si on ne fait pas de menterie a l'autre et qu'on joue carte sur table. Une chose semble sûr c'est qu'il est beaucoup mieux de privilégier la recherche d'un partenaire stable que de constamment perdre son temps dans le libertinage. Néanmoins, rien ne condamne le libertinage ''de période'' c'est-a-dire d'avoir plusieurs relations sexuelles sur une courte période. Au long terme il est mieux de privilégier un partenaire stable mais sur le court terme les périodes de libertinage peuvent être un comportement acceptable a mon point de vue.

Comme deuxième élément pour s'affranchir du conditionnement on peut utiliser le voyage. Voyager dans d'autres cultures permet de voir qu'il existe une panoplie de manière de vivre différente. L'on vient qu'a élargir de beaucoup d'une manière simple le concept de normalité car on voit bien qu'il existe des manières complètements différentes de la nôtre de vivre et que c'est aussi correct car ses gens semblent heureux et bien avec ça. Le voyage permet très clairement d'améliorer notre niveau de perception sur le monde. L'on devient plus adaptable a voyager, si le voyage se passe bien, car un individu qui améliore sa perception du monde est automatiquement un individu qui s'adapte mieux a la vie. Une bonne perception de la vie affine la prise de décision, améliore le jugement.

Donc pour conclure, il existe des manières de briser notre conditionnement culturel et il faut aller dans cette direction pour mieux vivre car l'on ne doit pas s'enfermer dans un système de penser trop rigide, il en résulte simplement une perte de liberté individuelle, qui diminue notre bonheur. Le concept de liberté est large bien qu'il y ait des limites. J'ai nommé deux manières d'augmenter son niveau de perception globale de la vie mais il en existe bien d'autres que vous pourriez surement nommer. La danse par exemple nous fait comprendre qu'il existe presque une infinité de mouvement et de style et que par conséquent, être trop rigide dans ses conceptions est erroné car, même si notre voisin est différent dans son style, il danse merveilleusement bien aussi. Et vous, quels sont vos perceptions de la vie, comment les affnissez-vous et comment arrivez-vous donc a vous libérer du carcan de la culture, castatrice, qui diminue votre marge de manoeuvre personnelle?

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