La joke psychiatrique se poursuit. Ses médecins de l'âme tentent de combattre et d'éradiquer la maladie mais leur efficacité est extrêmement limité dû a certaines raisons d'ordre structurelle mais aussi stratégiques, idéologiques combinés à un manque de savoir faire et une ignorance profonde.
Les problèmes structurels sont présents car les psychiatres n'ont pas les structures pour soigner efficacement, le patient est donc mal encadré et dans bien des cas, laissé a lui-même.
Leurs stratégies se résument générallement à la prises d'éléments chimique créé en laboraoire qui, dans bien des cas, cré d'Avantage de mal qu'ils ne résout de problèmes. Après la lobotomie, intervention chirurgical qui consiste a déconnecter certaines zones précis du cerveau, l'on recrée les conditions de déconnections cérébrales mais chimiquement cette fois. On anesthésie les émotions du patient pour tenter d'aténuer sa douleur mais en même temps, l'on sédunifie son être entier. On pratique une certaine forme de dychotomie de la dualité corps-esprit.
Une bonne santé de l'âme est une unification et non une dychotomie. L'anasthésie de l'émotion crée toutes sortes de problèmes mais les psychiatres attaquent la maladie mentale avec leur pillule quand même. SEs pillules sont au psychiatre ce que la c-7, (fusil militaire de base) est au militaire sur un champs de bataille. Sans l'outil chimique, ses psychiatres sont dépouillés de leur hiérarchie en quelque sorte, redevanant simple psychologue.
Mais pourquoi ses psychiatres n'attaquent-t-ils pas les causes de la maladie mentale? LA réponse est qu'ils sont limités pour soigner les maladies dites de civilisation ; ces maladies créées de toute pièce par la structure socio-économique du temps sont difficiles à traiter car ils tirent leur cause profonde dans l'environnement du fonctionnement du monde social actuel.
A mesure que l'on avancera dans le temps, on n'Adaptera nos méthodes de soins mais pour l'instant, les psychiatres sont très limités par le fonctionnement du néolibéralisme, ce système qui crée un système d'anéantissement de ses voisins ; on s'entretue dans la légalité. Au combat militaire physique on a substituer un anéantissement d'ordre économique. La guerre à changé de forme mais elle existe néanmoins encore.
Nous sommes encore dans le vieux débat capitalisme ou communisme, n'ayant pas compris que ses deux systèmes, loin d'être en opposition sont en réalités complémentaires.
Nous devrions imiter les arbres, ils ont la clé à nos questions. Loin d'etre en guerre, ils s'entraident à l'aide de leur racines qui ont suturés ensembles. Si l'un manque d'eau, une longue chaîene d'entraide souterraine, sous forme racinale acheminera de l'Eau à l'arbre en difficulté, ceci représente une forme de communisme. Mais, à l'extérieur s'épanouissent des arbres bien individuellement et ils sont tous bien différents les uns des autres, voila l'idée du capitalisme. Hors, tant et aussi longtemps que nos sociétés ne se comporteront pas à l'image du fonctionnement des arbres, nous souffrirons.
Il faut s'entraider dans l'acheminement des besoins de bases et s'épanouir individuellement en trouvant nos sources profondes de réalisation mais en attendant, nous sommes toujours en guerre, bien quelle ne soit plus physique elle est tout de même bien réel. L'évolution de nos sociétés passent par la compréhension du mutualisme des arbres qui créent des ''sociétés'' de forêt en santé.
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