vendredi 2 novembre 2012

Savoir aimer, un apprentissage

Quand on perd la capacité a aimer c'est aussi un peu une parti de soi qui s'envole, une perte de son identité profonde car une relation saine ne peut être basée sur autre chose qu'un sentiment d'appréciation qui passe par le ressentis du coeur. Sans ce contact coeur a coeur, les relations ne sont jamais tellement profonde et c'est pourquoi la capacité d'aimer sainement est un priori a l'amour mais aussi a l'amitié sincère. Ce que semble dire les experts de la béatitude c'est que la capacité a aimer, bien qu'elle est naturelle chez l'enfant, peut se travailler. C'est en quelque sorte, comme n'importe quoi d'autre, un apprentissage. Si la mère sait aimer inconditionnellement, elle fera probablement l'un des plus beaux cadeaux au monde a sont enfant : la capacité d'aimer aussi. Ses enfants tenderont toutes leurs vie vers un bonheur plus facile que celui qui n'a pas été aimé adéquatement. La mal aimé n'aura jamais intégré la recette du bonheur, il aura de la difficulté a saisir cette notion plus tard. C'est comme un enfant qui n'a jamais fait de sport dans sa jeunesse, une fois adulte la chance qu'il se mette a faire du sport est beaucoup plus faible mais elle n'est pas impossible! Une mère aimante est un cadeau du ciel, elle s'assure aussi en même temps d'affronter les difficultés de la vie plus aisément car l'amour entraîne l'entraide et la sollicitude. La personne au coeur asséché reste seul dans son coin, elle se recroqueville sur elle-même, ne sachant plus par quel canal de communication passé pour entrer en relation avec quelqu'un. Elle perd goût a la vie et la plus part de ses rencontres sont difficiles. Sa santé se dégrade, on lui proposera sans doute des anti-dépresseurs pour pallier a une chimie devenue déficiante mais ce n'est pas ce dont il a besoin, il faut qu'il retrouve sa bonté intérieur, sa capacité a s'intéresser aux autres, sa capacité a aider les autres, il faut qu'il donne des compliments aux autres, donne des objets qui feront plaisir, s'intéresse a la vie des autres, qu'il écoute attentivement leur complainte de temps en temps. La capacité a aimer n'est pas hasardeuse mais aujourd'hui les professionnelles de la santé mentale que sont les psychiatres ne voient pas la chose du même oeil. Décidément, notre haut niveau de dépression collective et d'anxiété est du a une mauvaise compréhension globale des éléments favorisant une bonne ou une mauvaise santé mentale. La problématique des psychiatre c'est qu'il ne comprenne pas les lois intrinsèque qui régissent le bonheur. Il soigne les déséquilibres chimique réel engendré par une causalité dans le non-respect des règles régissant le bonheur. Leur prémisse de base étant fausse, ils ne peuvent soigner adéquatement, pensant que leur pillule va avoir un impact majeure sur leur patient, ils font fausses routes, c'est bien évident! Pour soigner la santé mentale, nous sommes tous simplement mal structuré et nous manquons de connaissance collective. c'est la raison pour laquelle un grand nombre de personnes ont des difficultés avec leur santé mentale. Notre connaissance est faible, nous pourrions dans ce domaine faire beaucoup mieux avec beaucoup moins d'argent, ça me semble une évidence tellement forte!

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